Complémentarité entre protéines végétales et animales

Publié le 19 Fév 20

Indispensables pour notre organisme, les protéines apportées dans notre alimentation peuvent être d’origine animale ou végétale. Aucune concurrence entre ces deux sources, mais un bon équilibre est à adopter.

Actuellement, les protéines d’origine animale représente en France 70% des apports protéiques chez les consommateurs (contre seulement 35 % au niveau mondial).

Le PNNS (Programme national nutrition santé) recommande un rééquilibrage afin d’arriver à un rapport de 50 % de protéines d’origine végétale et 50% d’origine animale.

Il ne s’agit pas en effet de supprimer totalement les protéines animales, ce qui pourrait induire un risque de carences chez certains sujets (les jeunes en croissance notamment et les personnes âgées).

Comme le préconise l’INRAE (Institut nationale de la recherche agronomique et de l’environnement), il convient de “réduire la consommation de protéines et surtout de viande dans les pays développés, tout en accroissant la part des protéines végétales en développant de nouveaux produits de qualité nutritionnelle optimisée“.

Pour en savoir plus sur les protéines végétales : rendez-vous du 22 février au 1er mars 2020 au Salon de l’agriculture à Paris, Porte de Versailles sur le stand Terres OléoPro, Hall 2.2 – Stand B015.

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