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La France, première puissance agricole en Europe

Publié le 28 Août 24

Avec 17,4% de la production agricole européenne, l’agriculture française constitue la plus importante contribution agricole en Europe.

Les statistiques comparées des différents pays européens en matière de production agricole mettent en évidence toutefois quelques spécificités pour l’agriculture française :

  • un nombre d’exploitations agricoles proportionnellement peu élevé au regard de l’importance de la production réalisée. Le nombre de fermes françaises ne représente en effet que 4,3 % des 9 067 300 fermes en Europe.
  • des exploitations agricoles de taille plus importante. Si les petites exploitations (dégageant moins de 8 000 € en moyenne par an) atteignent 65,6 % en Europe, elles ne représentent que 14,2 % en France.
  • une population plus masculine et plus jeune. Alors que les femmes cheffes d’exploitation sont 31,6 % au niveau européen, elles ne sont que 21,4 % en France. Toutefois, les jeunes chefs d’exploitation français (de moins de 35 ans) représentent 9,7 %, contre seulement 6,5 % en Europe.

21 & 22 septembre : Journée de la fleur française

Publié le 22 Août 24

Plus d’une centaine d’événements sont proposés durant 2 jours, les 21 et 22 septembre prochains, à l’occasion de la Journée de la fleur française. Une belle opportunité pour s’intéresser à la floriculture.

Aujourd’hui en France, 85% des fleurs coupées achetées chaque année sont importés des Pays-Bas, du Kenya ou d’Équateur. Après une très forte chute des surfaces consacrées aux fleurs coupées dans l’hexagone depuis les années 70, la demande récente des consommateurs en fleurs de proximité et de saison tend à relancer la production.

Actuellement, en France, 278 entreprises sont spécialisées en fleurs coupées, sur une surface de culture de 457 hectares. Les plus importants bassins de production se situent en région Provence-Alpes-Côte d’Azur et Pays-de-la-Loire. On retrouve également une production plus faible en Bretagne, Nouvelle-Aquitaine et Île-de-France.

La production française de fleurs coupées en France est relativement diversifiée (dahlia, pivoine, gerbera, tulipe, renoncule, anémone, zinnia…), étalée sur toute l’année et bénéficiant de labels éco-responsables (Plante Bleue, MPS, Label Rouge, Agriculture Biologique ou Charte Qualité Fleurs). Ces caractéristiques constituent un véritable attrait pour le consommateur.

Le renouveau de la production des fleurs coupées en France s’accompagne d’une modification des profils des cultivateurs. D’une population vieillissante, souvent masculine et de formation agricole, les nouvelles installations accueillent majoritairement des femmes jeunes, de formation agricole ou en reconversion.

Pour en savoir plus : rendez-vous les 21 et 22 septembre prochains pour la Journée de la fleur française.

Pratique de l’élevage : démêler le vrai du faux

Publié le 19 Août 24

Un rapport du ministère de l’Agriculture et de la Souveraineté alimentaire dresse un bilan sur les retombées positives et négatives de l’élevage. Loin de toute approche simplificatrice, la suppression de l’activité d’élevage aurait des conséquences économiques, environnementales et sociales importantes.

Le rapport aborde le rôle de l’élevage en matière d’alimentation humaine (tant en quantité qu’en qualité) mais également ses retombées sur la fertilisation organique ou sur la production d’énergie (notamment grâce à la méthanisation ou le photovoltaïque). Les conséquences économiques et sociales mais également environnementales de l’élevage sont analysées. Enfin, les débats sur l’impact climatique des ruminants et la controverse entre l’élevage intensif et extensif sont développés.

Alors que la vision d’une France sans élevage est revendiquée dans les cercles les plus militants, tandis que les discours sur des cheptels réduits à leur portion congrue (et seulement extensive) gagnent par ailleurs du terrain, ces projections se gardent en général de pousser jusqu’au bout les scénarios de l’enfrichement et de la céréalisation qui, parmi d’autres, pourraient dessiner le portrait plus triste des campagnes françaises du futur“.

La France, productrice importante d’oléoprotéagineux en Europe

Publié le 5 Août 24

En Europe, en 2023, la France la plus importante nation productrice d’oléagineux et la deuxième pour la production de plantes riches en protéines.

D’après les données de Terres Univia, l’interprofession des huiles et protéines végétales, avec la production de 6 779 000 tonnes d’oléagineux, la France occupe la première place de l’UE. Sur une superficie de 1 345 000 hectares et une production de 4 328 000 tonnes, la France est le premier pays producteur de soja oléagineux en Europe, devant la Pologne. Et la France occupe la deuxième place concernant la production de tournesol (2 067 000 tonnes), derrière la Roumanie et devant la Hongrie.

Concernant les protéagineux, les plantes riches en protéines, la France en a produit 1 094 000 tonnes en 2023, la plaçant comme deuxième pays producteur en Europe, derrière l’Italie. Ainsi, la France est le principal producteur de pois protéagineux (481 000 tonnes produites sur 150 400 hectares) et de féveroles (218 000 tonnes sur 81 500 hectares), mais n’est en revanche que le deuxième pays producteur de soja protéagineux (384 000 tonnes), loin derrière l’Italie (1 052 000 tonnes).

Augmentation de l’emploi en agriculture

Publié le 1 Août 24

Entre 2021 et 2022, l’emploi dans les exploitations agricoles a progressé, mais de façon inégale suivant les catégories d’emploi et suivant les productions.

Alors que le nombre d’exploitations agricoles a diminué en 2022 de 0,5 %, le nombre d’emplois en équivalent temps plein (ETP) a progressé de 1,2 %. Ainsi, en 2022, le volume d’emploi mobilisé par les
exploitations agricoles est estimé à 680 170 ETP.

Cette hausse s’explique par celle de l’emploi salarié, et en particulier de l’emploi salarié non permanent, qui croît nettement : + 10,6 % pour les ETP saisonniers ou occasionnels et + 8,8 % pour les prestations réalisées par les entreprises de travaux agricoles (ETA) et les coopératives d’utilisation de matériel Cuma)” relève le ministère de l’Agriculture et de la Souveraineté alimentaire. C’est principalement dans les secteurs de la viticulture et de la production de fruits et légumes que l’emploi progresse nettement.

Globalement, le travail agricole en 2022 est assuré à 56 % des ETP par les chefs et coexploitants ; à 26 % par l’emploi salarié permanent ; à 12 % par l’emploi saisonnier ou occasionnel ; à 3 % par les conjoints et autres actifs non salariés; à 3 % par les ETA et les Cuma.

Pour aller plus loin, si vous recherchez un emploi en agriculture, cliquez ici

L’aquaculture en Europe reste peu développée

Publié le 31 Juil 24

En 2022, la pêche reste la production principale d’animaux aquatiques en Europe. Alors même qu’au niveau mondial, depuis 2022 et pour la première fois dans l’histoire, l’aquaculture a dépassé la pêche de capture.

En 2022, la production d’animaux aquatiques de l’UE s’élevait à 4,2 millions de tonnes, la pêche contribuant à environ 3,1 millions de tonnes (soit 74 % de la production totale) et l’aquaculture atteignant 1,1 million de tonnes. En termes de valeur, les captures débarquées des pêcheries de l’UE ont atteint environ 6,2 milliards d’euros, tandis que la production aquacole s’est élevée à 4,9 milliards d’euros.

Entre 2010 et 2022, le volume de la production aquacole de l’UE est resté relativement stable. Toutefois, la valeur de cette production a augmenté en raison de la hausse des prix, en particulier entre 2020 et 2022. Entre 2010 et 2022, la valeur de la production aquacole a augmenté d’environ 75 %.

4 pays dominent l’aquaculture en Europe

La politique européenne vise à développer l’aquaculture, qui constitue une alternative à la capture de poissons sauvages et se pratique aussi bien à l’intérieur des terres que dans les zones marines.

L’Espagne, la France, la Grèce et l’Italie ont produit ensemble plus des deux tiers du volume de la production aquacole de l’UE en 2022 et 62 % de sa valeur. Ainsi, l’Espagne a produit un peu plus d’un quart (environ 25,2 %) du total, suivie par la France (17,0 %), la Grèce (13,0 %) et l’Italie (12,0 %).

La production aquacole biologique progresse dans l’UE, même si cette évolution est très variable selon les pays. Ainsi, la progression s’observe notamment en Irlande (dont la production biologique représente 86 % de la production totale), en Slovénie (36 %), aux Pays aux-Bas (environ 35 %) ou au Danemark (23 %).

Une production très segmentée

La production aquacole en Europe concerne principalement les poissons (en particulier la truite, la dorade, le bar, la carpe, le thon et le saumon) et les mollusques (en particulier les moules, les huîtres et les palourdes). La production de la truite arc-en-ciel représente 15,1 % de l’ensemble de la production aquacole (dont plus de la moitié provient de la France, l’Italie et le Danemark réunis), suivie par la production d’élevage de bar, de dorade et d’huîtres. La production d’algues est un secteur qui se développe, la France étant le principal producteur européen de plantes aquatiques cultivées en 2022.

Le secteur de l’aquaculture est hautement spécialisé au sein de l’UE. La France produit ainsi notamment 88 % des huîtres creuses de l’Union européenne et 51 % des moules communes. Dorades royales et bars européens sont majoritairement élevés en Grèce, quand 98 % des saumons d’élevage dans l’UE en 2022 viennent d’Irlande et 83 % du thon rouge de l’Atlantique sont élevés à Malte.

Pour aller plus loin :
– statistiques européennes, cliquez ici
– la pêche professionnelle en eau douce, cliquez ici

Baisse de la consommation à domicile des produits laitiers

Publié le 29 Juil 24

Face à l’inflation, les ménages français ont adapté leurs habitudes d’achats alimentaires, notamment concernant les produits laitiers. Ainsi en 2023, les achats de lait conditionné et de matières grasses solides ont baissé, les volumes de fromage vendus sont restés stables alors que les quantités achetées de crème conditionnée ont augmenté.

L’étude de FranceAgriMer sur la consommation des produits laitiers en France relève une tendance à la baisse des achats par les Français pour leur consommation à domicile. Ainsi, les achats de lait conditionné ont reculé de 3,1 % entre 2022 et 2023, avec une baisse plus marquée pour le lait biologique (- 11,3 %), le lait de chèvre (- 15,7 %) ou le lait frais et fermenté (- 9,2 %). “Le lait de consommation est principalement consommé au petit-déjeuner (76 % des occasions de consommation), mais il n’est présent que dans 35,4 % des petit-déjeuners des Français. Cette proportion a baissé de 2,6 points par rapport à 2019.”

Les achats de beurre en 2023 sont également en repli, avec une baisse de 5 % par rapport à l’année précédente. Ce recul est encore plus marqué pour le beurre biologique (- 9,7 %). Les consommateurs ont reporté leurs choix vers des matières grasses allégées moins coûteuses, dont les volumes vendus ont augmenté de 15,2 % par rapport à 2022.

En 2023, les volumes de fromages achetés par les consommateurs français sont restés stables, mais avec une évolution inégale selon les types de lait. Ainsi, par rapport à 2022, il y a eu une légère augmentation des achats de fromages de vaches (+ 0,4 %) et de fromages de chèvre (+ 0,8 %), alors que les fromages de brebis, plus onéreux, sont en net repli (- 4,6 %).

La seule véritable embellie des produits laitiers en 2023 concerne la crème conditionnée dont les volumes achetés ont progressé de + 3,4 % par rapport à l’année précédente.

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La production de céréales biologiques en France en très légère augmentation

Publié le 18 Juil 24

D’après les données de FranceAgriMer, la collecte des céréales bio en 2023 atteint 871 273 tonnes, contre 826 000 en 2022 et 850 000 en 2021.

Depuis 3 ans, la production céréalière biologique en France est en relative stagnation. On relève surtout une diminution notable et régulière des conversions en agriculture bio. Le blé tendre constitue près de la moitié des céréales biologiques collectées.

En 2023, la France compte 20 460 céréaliers engagés en agriculture biologiques, sur une superficie totale de 549 376 hectares. La Nouvelle-Aquitaine, l’Occitanie et le Grand Est constituent les trois principales régions de production céréalière bio.

Moins de betteraves, mais plus de sucre

Publié le 11 Juil 24

En 2023, la production de sucre en France a progressé, malgré un repli des surfaces consacrées aux betteraves sucrières.

D’après les données statistiques du ministère de l’Agriculture et de la Souveraineté alimentaire, en 2023, les surfaces françaises de betteraves sucrières ont baissé de 5 % par rapport à l’année précédente. Mais en même temps, le rendement moyen a progressé de 6% sur la même période, pour atteindre 83,4 tonnes/hectares. La production betteravière en 2023 s’est élevée ainsi à 31,7 millions de tonnes.

En conséquence, avec 3,95 millions de tonnes, la production de sucre blanc de betteraves française a légèrement progressé en 2023, plaçant la France au deuxième rang européen, derrière l’Allemagne.

Une consommation de viande en baisse. Et une importation toujours importante.

Publié le 8 Juil 24

Une étude de FranceAgriMer met en avant une évolution contrastée de la consommation de viande en France : poursuite de la baisse pour la viande bovine, porcine et ovine mais reprise de la consommation de volaille et de lapin. Globalement, la consommation de viande en France diminue de 1,4 % entre 2023 et 2022. Parallèlement, les importations de viande diminuent au même rythme que la consommation mais elles représentent encore en moyenne plus de 30 % de la consommation totale de viande, et la moitié ou plus de la consommation de viandes ovine et de poulet.

Chaque Français en 2023 a consommé en moyenne 83,5 kg de viande, soit le plus faible volume depuis 10 ans.

La consommation de viande de boucherie, qui représente les deux tiers du total des viandes consommées, est en forte baisse en 2023 : diminution de – 3,7 % pour la viande bovine, – 3,7 % également pour la viande porcine (qui reste en volume la première viande consommée en France), – 5,9 % pour la viande porcine et – 4,2 % pour la viande ovine. En revanche, la consommation de volaille de chair progresse (+ 3,5 % entre 2022 et 2023).

FranceAgriMer souligne ainsi qu’en 20 ans, la consommation moyenne de viande par habitant en France a reculé de 5,8 %.

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Baisse d’utilisation des engrais minéraux

Publié le 2 Juil 24

En Europe, en 2022, la quantité d’engrais minéraux (azote et phosphore) chute de 10,3 % par rapport à l’année précédente.

Les données statistiques de l’Union européenne indiquent qu’en 2022, la quantité d’engrais minéraux (azote et phosphore) s’élève à 9,8 millions de tonnes. Cela représente une chute de 10,3 % par rapport aux données de 2021.

Le conflit en Ukraine et les sanctions économiques envers la Russie ont entraîné une hausse importante en 2022 des prix des engrais, ayant pour conséquence directe leur baisse d’utilisation par les agriculteurs européens. Ainsi, l’utilisation d’engrais azotés en Europe a diminué en 2022 de 9,4 % sur un an, quand celle des engrais phosphorés a subi une baisse de 17,9%.

La France, premier pays agricole de l’UE, a vu sa consommation d’engrais minéraux passer de 189 189 tonnes en 2021 à 179 014 tonnes en 2022, soit une baisse de 5,4 %.

Les Journées nationales de l’agriculture prennent de l’ampleur

Publié le 27 Juin 24

La 4e édition des Journées nationales de l’agriculture, qui s’est tenue du 7 au 9 juin, a rencontré un public intéressé, avec une participation en hausse.

Les organisateurs et partenaires de cet événement donnent d’ores et déjà rendez-vous pour la 5e édition des JNAgri, du 6 au 9 juin 2025.

Les légumes transformés ont la côte

Publié le 27 Juin 24

Selon une enquête de l’Institut CSA pour Unilet, l’Union nationale interprofessionnelle des légumes transformés, 90 % des Français en 2024 consomment des légumes en conserve ou surgelés. Cet engouement est en progression (+ 4 points par rapport à 2020).

Les consommateurs français sont particulièrement friands des légumes en conserves (+ 8 points depuis 2020), tout en ne dédaignant pas pour autant les surgelés ( + 4 points en 4 ans). Et cette habitude s’ancre de plus en plus dans leur quotidien puisqu’ils sont 62 % à consommer de manière hebdomadaire des conserves de légumes et 56 % des légumes surgelés.

Les légumes de plein champ en France concernent principalement les haricots (cultivés sur 39 367 hectares en 2022) et les pois (44 400 hectares), suivis par les salades, les tomates et les carottes.





Pas de pollution olfactive significative avec la méthanisation

Publié le 26 Juin 24

Avec le développement de la méthanisation, des riverains ont pu montrer des signes d’inquiétude face aux risques de nuisances olfactives. Une étude nationale sur la surveillance et la qualité de l’air aux abords de méthaniseurs apporte des résultats rassurants concernant les concentrations en ammoniac et en hydrogène sulfuré .

L’étude Aqametha conduite par AtmoFrance a porté sur l’impact de la méthanisation sur la qualité de l’air en s’intéressant à l’exposition à l’ammoniac et à l’hydrogène sulfuré ainsi qu’aux odeurs.

Les premiers résultats d’AtmoFrance révèlent “une présence olfactive significative près des sources, diminuant rapidement avec la distance. Les concentrations en ammoniac et en hydrogène sulfuré diminuent également à distance de la source et se situent sur la période de mesure en dessous des valeurs toxicologiques de référence de l’Anses* et des valeurs guides de l’Organisation mondiale de la santé“.

* Anses : Agence nationale de sécurité sanitaire de l’alimentation, de l’environnement et du travail

Le savoir-faire du recyclage en agriculture en France fait référence

Publié le 25 Juin 24

L’engagement volontaire des différents acteurs de la profession agricole, réunis autour d’Adivalor, permet une collecte très performante des déchets de l’agrofourniture.

Dans son rapport annuel, l’éco-organisme Adivalor, précise qu’en 2023, le taux de collecte moyen des déchets de l’agrofourniture a atteint 79 % (dépassant les 90 % pour les programmes les plus anciens), avec un taux de recyclage de 74 %. Si cette performance est remarquable, Adivalor ne s’en contente pas et souhaite collecter toujours plus et recycler toujours mieux. “Nous poursuivons nos efforts pour tendre vers le 100% collecté, 100% recyclé” indique Christophe Grison, président d’Adivalor.

Pour collecter plus, de nouvelles filières (comme par exemple les emballages vides de nutrition animale en 2023 ou les déchets de la filière horticole en 2024) intègrent les points de collecte. Désormais, en France, 25 types de déchets sont triés, collectés et valorisés. Par ailleurs, la sensibilisation s’étend également sur l’ensemble du territoire (notamment outre mer ou bien en Corse).

Adivalor souligne que “la France est aujourd’hui le seul pays d’Europe à disposer d’une organisation aussi performante, dédiée à la gestion de la fin de vie de l’ensemble des déchets agricoles. Le savoirfaire de la France fait donc référence, tant au niveau européen que mondial.”

Pour allers plus loin : cliquez ici

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